[Télétravail] le point d’octobre 2016

Le comité technique spécial académique (C.T.S.A) d'octobre 2016 était l'occasion d'un nouveau point sur l'expérimentation du télétravail au Rectorat de Grenoble.

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Les avancées

Au mois de juin, plusieurs problèmes techniques faisaient qu’un certain nombre de télétravailleurs n’avaient pas pu commencer à expérimenter ce nouveau mode de travail.

Ces problèmes et principalement la question de la téléphonie ont été résolus. A ce jour 22 personnes sont en télétravail une journée par semaine : 1 personne du SESPAG, 8 de la DSI, 1 de la DIVET, 4 de la DIPER E, 2 DIPER A, 2 DIFOR, 1 de la DBF, 1 du SIASUP, 1 de la DEP.

Pour chacun des télétravailleurs, l’analyse des tâches éligibles au télétravail a été faite. Cette analyse met à jour que nombreuses sont les activités qui peuvent être effectuées à distance.

Prochain groupe de travail.

Deux GT avaient été annoncés en juin. Le prochain point se fera plutôt au printemps prochain afin de laisser le temps d’une réelle expérimentation. Celle-ci sera prolongée jusqu’à la rentrée prochaine.

Le Sgen-CFDT, qui est à l’origine de la mise en œuvre du télétravail dans les services académiques, sera attentif à ce que les cadres qui seront posés pour la généralisation garantissent les conditions de travail des agents. La question des espaces de co-working reste également au cœur de ses préoccupations.

Les points et questions évoqués.

L’éloignement n’est pas une condition « sine qua non » pour l’accès au télétravail. Il est nécessaire que, dans les équipes de travail, des temps où l’ensemble des agents se retrouvent sur place soient garantis pour maintenir une vie de service.

La circulaire de la fonction publique précise que le télétravail peut se faire sur plusieurs jours du moment que l’agent est au moins deux jours par semaine dans les locaux administratifs. L’expérimentation se poursuit avec la limitation d’une journée. Le passage à deux jours semble envisageable, mais le passage à trois jours ne l’est guère.

Les missions qui peuvent être faites en télétravail doivent continuer d’être identifiées. Elles devraient pouvoir être affichées lors du mouvement interne.

Les D.S.D.E.N, dont les besoins et les missions ne sont pas les mêmes que ceux du rectorat, devraient pouvoir entrer en expérimentation en septembre 2017 avec un bilan au mois de janvier suivant.

Enfin, en mars nous avions soulevé la question de la pause méridienne qui ne figurait pas dans le protocole individuel.
La réponse suivante a été apportée : Le protocole de télétravail n’intègre pas la notion de pause méridienne mais renvoie aux dispositions du règlement intérieur du rectorat en matière de temps de travail (article 2-3).
Ce point pourra être précisé dans le nouveau protocole en cas de généralisation du dispositif de télétravail.