Deuxième revalorisation de l’IFSE à la DSI

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La première phase, visible depuis la paie d’août, consistait en un montant fixe attribué à chacun selon le corps. (Pour mémoire, l’IFSE dépend également de la quotité travaillée).

La seconde phase, elle, consiste a rapprocher les montants servis au niveau de la région académique en les alignant par le haut. Désormais qu’on travaille à Clermont, Grenoble ou Lyon, pour un même corps et un même groupe, on a le même IFSE.

C’est donc un bonne nouvelle. Le Sgen-CFDT intervient très régulièrement sur ces sujets auprès du Ministère. Nous sommes notamment intervenus sur les grandes difficultés liés aux conditions de travail et aux tensions sur le marché de l’emploi dans nos métiers.

Néanmoins, nous avons aussi souligné plusieurs points sur lesquels nous continuons d’être attentifs et de revendiquer.

Le classement dans les groupes d’IFSE.

Personne ne perd financièrement dans l’opération. Néanmoins, au delà des montants par groupe et corps, ce qui est important dans le RIFSEEP c’est le classement dans les groupes.

On sait toute la difficulté aujourd’hui de pouvoir ajuster corps de l’agent et poste : cela demande de requalifier le poste, d’ouvrir des concours… et que l’agent lui même passe au corps supérieur. Or les listes d’aptitude sont rares. Dès lors le moins que l’on puisse faire c’est de placer ces postes dans le groupe le plus haut. Ce qui n’est pas toujours le cas.

D’autre part, plusieurs descriptifs de fonctions ou expertises à placer dans les groupes les plus haut nous semblent bien trop vagues.

Chacun doit exiger que, sur sa fiche de poste, soit spécifié le groupe de fonction.

Les contractuels et les autres BAP.

Le Sgen-CFDT demande que les contractuels qui ne bénéficient pas de l’IFSE voient eux aussi leur rémunération augmenter à hauteur de celle des titulaires.

Les personnels des autres BAP doivent eux aussi être revalorisés.

Nous continuons d’œuvrer dans ce sens et restons à votre disposition pour toute question.